Des outils de localisation et de prise de notes :
- un GPS (éventuellement)
- une boussole pour l'orientation d'un site particulier
- un plan annoté avec les éléments du paysage
- un carnet de terrain ou une planche avec pince pour
accrocher des feuilles de notes
- un crayon de papier, un feutre indélébile
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Des récipients de récolte et d'observation : Récipients de capture
pour les animaux : on peut recycler toutes sortes de récipients à condition
de respecter plusieurs critères :
- un couvercle ou bouchon facile et rapide à ouvrir ou fermer
- des parois complètement transparentes (pas de verre ou plastique opaque
ou avec des motifs qui gênent l'observation ; enlever les étiquettes !)
- une taille pas trop grande : mieux vaut de nombreux petits récipients
que quelques uns trop grands pour éviter de regrouper les animaux qui
s'abiment entre eux
Parmi les possibles :
- les pots de bébé (mais les couvercles sont parfois peu pratiques)
- les pots de confiture de petit format sans motif
- les petits pots de condiments (tapenade, etc..)
Chaque récipient devra porter sur le couvercle un numéro qui servira
de référence pour la prise de notes.
Pas besoin de percer des trous dans les couvercles, comme les animaux sont
relâchés en fin de séance (risques de se blesser avec les couvercles en métal
percés).
Pour les végétaux, utiliser des pochettes transparentes
(sacs congélation de différentes tailles) numérotées dans lesquelles
on glissera les échantillons prélevés (feuilles, rameaux, fleurs, …)
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Des outils de capture :
- dispositifs possibles : Voir les fiches techniques jointes
(drap blanc, filet à papillons, piège Barber…)
- les bocaux seuls peuvent très bien servir d'outils de capture, certes
limités mais néanmoins efficaces.
- les aspirateurs à bouche sont largement vantés et proposés en catalogue
; ils sont effectivement efficaces mais ils ont un inconvénient majeur :
ce sont des outils individuels pour des raisons d'hygiène élémentaire !
Nous les déconseillons donc fortement d'autant plus que les jeunes en
font souvent un usage ludique qui les détourne de leur travail.
- Des pinceaux fins ou des pinces souples entomologiques pour capturer ou saisir des animaux minuscules ou fragiles.
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Des outils d'observation utilisables éventuellement sur le terrain :
- les boîtes-loupes du commerce intéressantes mais se rayent vite
- les grosses loupes à main : fragiles au niveau de la lentille (usage à
réserver en salle, de retour de la sortie)
- une mini caméra avec un très bon éclairage pour projeter sur un écran
et partager ainsi les observations : idéal pour observer les comportements,
le mode de déplacement, ….
- les loupes compte-fils pour l'observation des plantes ou d'animaux immobiles
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Des outils de capture d'images :Quasi indispensables pour permettre une
identification ultérieure ou interroger ensuite le site de
l'école buissonnante :
- un appareil photo numérique (ou un téléphone portable équipé d'un objectif)
- un camescope
Se pose le problème majeur de la qualité des prises
de vues : très souvent les images capturées sont floues et inutilisables.
Les quatre écueils majeurs à éviter sont :
- le bougé au moment de la prise de vue : bien se caler et retenir sa
respiration au moment de déclencher ; on ne prend pas une bonne photo en
étant énervé !
- le " trop près " : très souvent, pour mieux montrer, on prend une vue
rapprochée en oubliant qu'il existe une distance minimale de mise au point
en-deçà de laquelle l'image sera floue et que, plus on est près, plus les
risques de bougé sont amplifiés
- le zooming : la plupart des appareils sont équipés d'un zoom numérique
mais au détriment de la qualité
- le manque de lumière : penser à utiliser le flash en situation sombre
; le flash fige en plus les mouvements.
Mieux vaut donc une photo prise d'un peu plus loin mais nette qu'une
photo très près et complètement floue ! On pourra toujours la zoomer
à l'écran pour voir des détails. Si c'est possible, penser à prendre plusieurs vues différentes sous des
angles différents (dessus, dessous, de profil) !
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